Copains D’Avant

Cela faisait maintenant plusieurs semaines que ma vie sexuelle était proche du sevrage. Ma dernière relation datant du match de fin de saison, ou mon mari m’avait partagé dans une cave BDSM avec le président du club. Richard se concentrait à nouveau sur ses affaires, me laissant seule avec mes envies et mes fantasmes. De mon côté, j'avais mis un frein à mes relations avec mon amant Jérôme, et évitais de rencontrer le président du club avec lequel je n'avais aucun atome crochu. Je commençais à ressentir cette solitude sexuelle et l’ennui qui m’envahissait. J’avais l’impression de passer inaperçue et que personne ne s’intéressait à moi. Redoublant cependant d’imagination vestimentaire, mon aspect de bourgeoise n’attirait peut-être plus ? Je paniquais à l’idée de ne plus être cet objet de désir et de fantasme que j’avais tenté d’être toute ma vie durant. Peut-être était-il temps de regarder un peu en arrière, un retour aux sources. Une plongée dans mes amours de jeunesse ? Je me mis à surfer sur Internet utilisant Facebook, Instagram, à la recherche d'anciennes conquêtes. Bien que j’avais déjà beaucoup de connaissances intimes dans mes contacts avec qui j’entretenais des relations amicales, je retrouvais aussi d’anciens amis de lycée ou de la faculté. C’est en m’inscrivant sur « Copains d’avant » que je tombais presque par hasard sur le profil de Thierry que j'avais connu dans les années 90, lorsque pour payer mes études, je travaillais en tant que surveillante dans un lycée. Il était étudiant en école de commerce et professeur de mathématiques, et j'avais naturellement succombé à ses charmes, vivant une courte mais intense aventure de quelques mois. L'homme était beau et brillant, membre d’une famille noble avec nom à particule, les parents était notamment propriétaire d’un grand cru de bourgogne très fameux. Cela avait été une aventure passionnée, étant célibataire, alors que lui était en couple depuis plusieurs années avec une femme qu’il devait épouser.

Il m'avait considéré un peu comme une roturière et joué avec moi pendant quelque temps profitant de ma naïveté et de mes formes pulpeuses. Tout pour lui était prétexte à me courtiser et me faire l’amour, aimant particulièrement me surprendre dans des endroits insolites du lycée et de me baiser rapidement. Il s’introduisait régulièrement le soir dans le lycée, à l’heure de l’étude et me prenait dans les toilettes, par-derrière en levrette, baissant mon pantalon me poussant à m’asseoir sur membre bien dure d’aristo, pour me fourrer comme une dinde, une petite Jouvencelle qui se donnait à son noble gentilhomme. Il me coinçait aussi fréquemment dans la bibliothèque alors que j'étais censé surveiller les élèves, fermant la porte, et me prenant contre la fenêtre dans la pénombre face au parking des professeurs. Il venait me rejoindre également la nuit dans le dortoir, dans ma chambre, alors que j’étais de service afin de faire l'amour pendant des heures. Il me prenait alors violemment sur ce lit de dortoir qui grinçait et résonnait dans tout le dortoir. Je me souvenais aussi de notre rupture quant au bout d’un semestre, il me donna rendez-vous sur une colline déserte qui surplombait la ville. Je l’avais rejoint dans sa voiture, et sans lui laisser le temps de parler, je m’étais jetée sur son sexe que j’avais sucé jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche. Il me largua juste après me laissant la bouche pleine de son sperme peut-être lassé et pressé de retourner vers celle qui était devenue sa femme. J’avais toujours le souvenir de cette relation torride et donc curieuse, je recherchais sur Internet, essayant de deviner ce qu'il était devenu, me surprenant parfois seule dans ma chambre, surfant sur la toile pour capturer des éléments de sa vie privée, tout en plongeant parfois ma main entre mes cuisses en souvenir de nos folles soirées de jeunesse. Je pris finalement mon courage à deux mains et lui envoyais une demande de connexion via Facebook accompagné d'un petit mail dans lequel je lui demandais des nouvelles.
Il me répondit presque instantanément apparemment ravi de ma demande de connexion et me racontant ce qu'il était devenu. Il travaillait dans le domaine familial comme directeur commercial vivant à Dijon et était toujours marié avec la même femme qui lui avait donné 5 s. Il continua d'échanger avec moi par messagerie, essayant de ne pas être trop intrusif, mais capturant de plus en plus de détails sur ma vie mes passions mes ambitions. D’abord par messagerie privée, nous étions passés au bout de quelques jours à des échanges plus interactif sur What’sapp. Il m’envoyait régulièrement des messages, questions, parfois des photos de paysages, de ses vignes, des caves. Nous avions en quelques semaines instaurés une relation privilégiée, comme deux vieux amis qui partagent leurs quotidiens. Chaque jour, j’attendais avec impatience le message de Thierry qui égayait ma journée. Un soir à la maison seule, alors que mon mari était en déplacement, je repensais à ces années passées, rêvant sur mon canapé de nos ébats torrides et excitée par ces souvenirs, j’envoyais un message à Thierry.
- @Thierry : « Coucou, aujourd’hui mardi 20H30, 30 ans plus tard, et je pense à ces moments furtifs ensembles au lycée. Te souviens-tu ? Même jour même heure :-) »
- @Patricia : « Comment aurais-je pu oublier cela !!! J’y pense souvent, tu te souviens de la première fois ? »
- @Thierry : « Je me souviens que tu étais venue me rejoindre dans le dortoir des filles... »
- @Patricia : « Oui, et tu étais sortie, car il y avait du bruit, et quand tu es revenue, je t’ai entraîné dans les toilettes, ou on n’a fait l’amour... J’y pense souvent. »
- @Thierry : « Avec regret, envie ou désir ?"
- @Patricia : « Désir, d’ailleurs en ce moment... Tu veux voir ? »
Il m’envoya alors une photo. Son sexe dressé avec sa main autour. Il devait se masturber alors que je ne réalisais pas toute la symbolique de cette image et l’étape que j’étais en train de franchir de manière totalement implicite.

- @Patricia : « Alors ça te plaît, tu reconnais ? »
Surprise, mais surtout très excitée, je passais ma main également entre mes cuisses... Pour toute réponse, je lui envoyais une photo également de ma main plongée sous ma culotte. On continua à échanger pendant presque une heure, des propos érotiques, alors que je me masturbais tout en l’imaginant faire la même chose de son côté. Le lendemain, il me proposa de changer de système de chat, en installant « Signal » un chat pour couple infidèle, mais beaucoup plus sécurisé. À partir de ce moment, nos échanges furent beaucoup plus intimes. Il m’envoyait régulièrement des photos de son sexe, et je faisais de même, lui racontant également quelques-unes de mes aventures. On était passé du chat confidentiel à l’envoi de photos coquines, jusqu’à ce qu’un soir, il se connecte en facetime... Il se filmait en train de se masturber, assis sur son lit et face à un miroir, tout en me racontant notre premier rendez-vous... J’étais hypnotisée par son membre bien dur qu’il serrait et branlait vigoureusement, écoutant sa narration :
« Je me souviens nous étions tous les 2 dans ta chambre, je t'embrassais poussant ma main sous ta jupe alors que tu tenais tes cuisses serrées. J'avais plongé mes doigts sous ta culotte un petit tanga blanc en dentelle et alors que je te roulais une grosse pelle, et enlevais ta culotte, tu es sortie de la chambre, car il y avait du bruit dans le couloir. Je t'ai suivi discrètement attendant que tu reviennes, et alors que tu retournais vers la chambre, je t'ai attrapé par le bras et entraîné dans les toilettes. Je t'ai baisé une première fois, tu étais assise levrette sur ma grosse queue, je t'ai défoncé comme un fou. Comme tu gémissais trop fort, je t'ai mis ta culotte dans la bouche. Je me souviens encore de tes gros seins entre mes mains. J'ai joui une première fois dans les chiottes dans ta chatte toute mouillée, avant de retourner ensuite dans ta chambre où on a refait l'amour te prenant par-derrière à quatre pattes sur ton lit qui n’arrêtait pas de grincer.
Je repense souvent à cette première histoire et ça m'arrive souvent de me masturber en pensant à toi. »
Nous avions une nouvelle fois franchi une nouvelle étape dans cette relation virtuelle. Son histoire m’avait fortement excité, avec en point d’orgue son éjaculation, devant laquelle je restais fascinée par le sperme qui dégoulinait entre ses mains. Je coupais son facetime, et seule sur mon canapé me masturbais. Bien que possédée, j’essayais toutefois de différer mon plaisir afin d'en augmenter la portée, marquant un temps court pour faire redescendre l'excitation. J’accélérais ensuite le rythme, pour faire monter mon désir avec des lents tapotements de mon clitoris, puis de plus en plus rapides, avant de m’écrouler sous un orgasme violent. Je ne pouvais dire ce qui m’avait excité le plus, cette masturbation hystérique ou la vue de mon ancien amant, qui m’avait ramené 30 ans plus tôt. Je me couchais enfin apaisée, rêvant toutefois à des ébats torrides avec des hommes cagoulés, qui à la fin prenaient la forme de Thierry.
Il me laissa plusieurs jours sans nouvelles, ne répondant que brièvement à mes sollicitations. Une fois de plus délaissée, je devenais folle. Je n’en pouvais plus d’attendre. Il me donna enfin un rendez-vous virtuel, me laissant suffisamment de temps afin de m’organiser en télé travail à la maison et donc de m’isoler.
- @Patrica : « Bonjour belle demoiselle »
- @Thierry : « Flatteur, je n’ai plus rien à voir avec une demoiselle, c’est plutôt la ménagère de 50 ans maintenant :-) »
- @Patricia : « Pour moi, tu es et tu resteras cette magnifique jeune femme, dont je suis resté passionnément amoureux pendant toutes ces années. »
- @Thierry : « Alors pourquoi tu m’as quitté avec comme cadeau de départ ton sperme dans ma bouche »
- @Patricia : « Malheureusement, comme tu le sais bien, mon milieu à ses propres contraintes... Et si ce soir, c’était toi qui prenais la main. Raconte-moi une de tes aventures en détail. »
Je branchais mon facetime, zoomant entre mes cuisses en évitant de dévoiler mon visage, relevais ma jupe dévoilant ma culotte et lui racontais mon histoire tout en plongeant ma main dans mon vagin. Je lui racontais comme j’avais été violé par Daniel, et ses deux joueurs dans le bus. Je n’omettais aucun détail, et je pouvais l’imaginer se masturbant de l’autre côté de son téléphone... Il m’envoya une photo de sa main recouverte de sperme, je venais de le faire jouir à distance. À défaut de télé travail, je pratiquais maintenant la télé masturbation. Une fois de plus et surexcitée par cet échange, je me masturbais violemment seule dans mon lit.
Ces échanges durèrent plusieurs semaines, avant qu’il me propose de nous rencontrer pour déjeuner. La distance géographique ne simplifiait pas l'organisation, et même si je mourais d'envie de le voir, je n’avais pas d’alibi pour un déplacement sur Dijon qui apparaîtrait sûrement suspect aux yeux de mon mari. Thierry prit l’initiative m’annonçant qu’il devait faire une visite en Lorraine. Je pris l'excuse d’une visite chez mes parents pour justifier l'aller-retour dans la journée. J'avais pour l'occasion sorti le grand jeu avec une jupe crayon en Jacquard mi-longue multicolore et sophistiquée à motif Vichy composée de carré blanc et beige mettant en valeur ma silhouette et un pull en laine col roulé blanc très moulant et des petites bottines. Je voulais montrer à cet aristocrate la bourgeoise raffinée que j'étais devenue, espérant également lui faire briller les yeux de désir comme une revanche sur la façon donc il m'avait quitté. Je pris ma voiture en milieu de matinée pour le retrouver 2 heures plus tard dans la ville de notre jeunesse, dans une brasserie pour le déjeuner. Moi qui souhaitais le séduire, ce fut l’effet inverse. Il n'avait pas changé et était toujours aussi séduisant. Habillé comme un prince avec un look à la George Clooney, il était totalement irrésistible. Moi qui pensais qu'il allait fondre en me voyant, c'était plutôt l'inverse. On s'embrassa amicalement, s’installant dans un coin isolé du restaurant. Non loin du centre, dans un cadre feutré et légèrement baroque, nous étions engoncées dans des grosses banquettes, privilégiant une certaine intimité. Percevant que j’étais intimidée, il me mit rapidement à l'aise.
- Tu es resplendissante, toutes ces années ont juste contribué à t’épanouir davantage.
- Merci, tu es un flatteur, mais ce n’est pas l’impression que j’ai quand je me regarde dans le miroir le matin. Plus de kilos plus de rides, enfin bon, plus de tout, qui nous éloigne de ce qu’on a été.
- Pas du tout, tu as transformé la jeune femme sexy que je connaissais et dont j’étais déjà fou, en une magnifique femme mûre, et je suis sûr que tu as un succès fou, en tout cas, tu me rends encore plus fou.
Il me complimentait, se montrant flatteur, dragueur, me prenant aussi parfois par la main, afin de m’embrasser sur la paume. Il régnait une tension torride et érotique entre nous qui augmentait au fur et à mesure que le déjeuner avançait.
- Tu sais ma chère amie que tes histoires m’ont rendu totalement fou.
- Oui, en effet, j’ai pu voir cela sur la photo que tu m’as envoyé... J’ai beaucoup aimé aussi ton facetime
- Pourquoi avoir repris contact avec moi, c’était plutôt inattendue après tant d’années ?
- Peut-être la nostalgie d’avoir des nouvelles de personnes qui ont compté dans ma vie.
- Je ne suis donc pas le seul ?
- Non, cependant, tu es le seul avec qui je déjeune, et avec qui je partage des photos de ma petite culotte...
- Et j’en suis très flatté !!! En même temps, tu es aussi la seule avec qui je partage des photos intimes... Raconte-moi un peu plus, je veux tout savoir. J’avoue que je suis curieux de comprendre ce qui t’anime ; tes passions, tes amours...
- Disons que j’ai toujours eu une vie affective ou sexuelle très active. Mon mari est un adepte de la soumission et de l’échangisme, donc il m’a fait adopter progressivement ses fantasmes. Quand les s ont quitté la maison, je me suis senti vieillir, devenir fade, moins utile alors je me suis remise à travailler dans la société de Richard, et j’avoue avoir eu des relations adultères un peu particulière.
- Que veux-tu dire par particulière ?
- Disons que j’ai pris goût à la soumission, me savoir désirer, convoiter, prise de force, violer. J’aime ce jeu de rôle où je deviens la proie, un objet de désir de luxe que l’on utilise et on jette. Un peu comme si je cherchais à revenir à mes origines sociales
- Passer de la bourgeoise snob à roturière en quelques sortes
- Oui, c’est un peu ça.
- Tu as fait ton analyse toute seule.
- Ohhhh non, je me suis fait aider, j’ai beaucoup consulté...
- Est-ce que je peux te poser une question indiscrète ?
- Je t’écoute, même si je pense qu’avec ce que je t’ai déjà raconté de moi, je ne vois pas ce qui peut encore être considéré comme indiscret.
- Pendant toutes ces années, tu t’es masturbé en pensant à moi ?
- Disons que depuis qu’on discute par facetime, cela m’arrive de temps en temps ... Je me suis surprise plusieurs fois seule dans ma chambre un peu excitée après nos échanges.
- J’ai envie de toi !!!!
- Thierry, nous sommes tous les deux mariés...
- Peu importe, j’ai envie de te prendre, te faire l’amour, que tu t’évanouisses entre mes bras...
- Tu es sûr de ne pas le regretter plus tard ...
Il ne répondit pas, demanda l’addition, et après avoir payé m’emmena avec lui. Docile, je ne posais aucune question, ne souhaitant qu’une chose me retrouver seule avec lui, et le laissait jouer avec moi, mon corps mes formes. Je me souvenais de la façon dont il me prenait quand nous étions étudiant, et ne désirais qu’une chose, qu’il me baise à nouveau !!! Nous étions silencieux dans son véhicule, alors qu’il me conduisait à son hôtel. Tous les deux impatients de nous retrouver, nous restions silencieux. J’avais finalement espéré ce moment depuis le moment où je l’avais retrouvé sur Internet. Alors que nous avions quitté le centre, il stationna sa voiture sur le parking d’un hypermarché, coupa le contact, et se pencha vers moi, me scrutant dans les yeux. Il m’attira vers lui, et m’embrassa fougueusement. Sa langue avait plongé entre mes lèvres, m’étreignant entre ses bras puissants, me roulant une galoche tel un adolescent gourmand. C’était un baiser passionnel tournoyant de la langue lors d'un intense enlacement langoureux. Il s’amusa de mes lèvres, de ma bouche, de ma langue, pendant plusieurs minutes, comme pour rattr tout ce temps perdu... Je m’abandonnais à lui, le laissant prendre le contrôle. Il me tenait par les cheveux tout en visitant de sa langue chaque recoin de ma bouche. Il avait compris mes tendances sexuelles, et visiblement, ça avait l’air de lui plaire. On s’embrassa encore sans se préoccuper de l’endroit et du temps qui passait avait qu’il se redresse toujours en me tenant fermement.
- Je n’ai pas cessé de penser à toi ma belle, je vais te montrer combien tu es désirable, encore plus qu’avant !!!!
Il reprit la route, jusqu’à son hôtel, garant sa voiture sur le parking. À ma grande surprise, il avait réservé une chambre dans un château à plusieurs kilomètres du centre. Ce délicieux château était un bâtiment du XVIII siècle magnifiquement restauré et rehaussé de subtiles touches de modernité. Avec un chef étoilé qui proposait une cuisine gourmande et audacieuse. Il m’entraîna jusqu’à sa chambre, une suite avec un décor historique allié aux conforts des technologies modernes avec vue sur le jardin du domaine et un lit king size. Il referma la porte derrière nous, et sans attendre me poussa contre la porte, laissant tomber mon manteau sur le sol. Coincé contre la porte, il se colla à moi pour m’embrasser de nouveau. Ses mains se joignaient à sa langue pour redécouvrir mon corps, après tant d’années. Je sentais ses caresses parcourir rapidement mes formes pulpeuses, à la recherche du temps perdu, alors que sa langue faisait son travail de préparation montant mon niveau d’excitation à son extrême.
- Emmène-moi sur le lit, et prends-moi maintenant.
- Non pas tout de suite, laisse-moi profiter de toi... J’aime te coincer comme ça, et je me souviens que tu adorais cela...
- Ohhhh Thierry, tu vas me rendre folle, on est fou tous les deux, on va regretter tout ça...
- Non ma belle, je vais te prendre, te posséder, te violer.... C’est de ça que tu as envie...
Sans attendre, il releva ma jupe Vichy, laissant apparaître mes bas et mon string en dentelle noir, me remonta les cuisses autour de ses hanches et après avoir écarté la lanière de ma culotte me pénétra avec force. Son sexe m’envahit, me laissant échapper un premier cri de stupeur. J’avais oublié cette sensation d’être possédée par cet homme brillant, puissant, cet amant qui m’avait retourné le cœur à 25 ans et qui recommençait 30 ans plus tard. Je sentais son désir entre mes cuisses qui était toujours aussi fort, et qui me détruisait l’entre-jambe tel un redoutable marteau piqueur. Il me pilonnait avec une énergie athlétique. Robuste, solide, tout-puissant et terriblement viril, il me baisait violemment, alors que comme une sangsue, j’avais accroché mon corps à ses hanches et son cou. Ses mains s’étaient saisies de mes fesses afin de me porter, et sa langue continuait à jouer entre mes lèvres. L’énergie de son sexe me rappelait quel amant exceptionnel il avait été, tout en le démontrant aujourd’hui par la preuve et avec l’ardeur de son membre qui coulissait en moi rapidement. Combien de temps cet homme athlétique allait-il pouvoir me baiser de la sorte. Même si mon IMC était tout à fait acceptable pour une femme de 55 ans, je pesais quand même 60 Kg, ce qui représentait sur la durée un challenge qui ne semblait pas le gêner. Ses coups de reins me submergeaient de plaisir. Son sexe m’habitait, rallumant cette envie et amour de ma jeunesse. Je gémissais, grognais, pleurais...
- Ohhhh Thierry, oui, c’est si bon, tu me fais jouir, tu me prends comme une folle, emmène-moi sur le lit, et baise moi comme une chienne. Prends-moi comme une roturière.
- Attends un peu ma belle, il faut mériter le lit...
Sortant son sexe de ma chatte en feu, il m’attrapa par-derrière, de ses bras musclés par les hanches, et me souleva pour me renverser, la tête en bas. Lui debout, appuyé contre la porte et moi la tête en bas lui tournant le dos juste maintenue par ses bras forts. Il avait la tête entre mes cuisses et sa langue plongeait dans mon vagin, alors que je prenais son gros sexe tendu dans ma main, pour fourrer son gland dans ma bouche. Je sentais tout l’effet de sa caresse buccale entre mes cuisses et encore une fois me demandait combien de temps, il allait pouvoir maintenir cette position. Sa langue jouait avec les grandes lèvres de mon sexe, alors que je sentais un doigt qui titillait mon petit trou. Lors de notre première relation, j’avais toujours refusé qu’il me sodomise. L’époque, les mœurs, ma découverte du plaisir anal avait bien évolué en trente ans, et je pouvais sentir son envie et frustration de n’avoir jamais usé de cet orifice interdit. Je le laissais jouer de ce doigt, ne pouvant toutefois manifester un quelconque refus. Il me suçait, me manger le clito, me bouffer la chatte. Sa langue était comme un personnage démoniaque, alors que je continuais dans la mesure du possible de prendre son sexe en bouche.
- Ohhhhhh, Ouiiiiii, Prends-moi maintenant, emmène-moi sur le lit....
- Encore un peu de patience ma belle
Il me redressa, et me poussa vers le fauteuil, se positionnant devant moi, poussant son sexe toujours bien dur entre mes lèvres...
- Suce-moi ma beauté, comme lors de notre dernière fois dans ma voiture, bouffe-moi la queue.
Je le pris en bouche entre mes lèvres, et le suçais, avalant son membre de manière gourmande et salace. Je mettais tout en œuvre pour lui montrer mes talents de suceuse, lui démontrer mon appétence à sa bitte, mordillant son gland, léchant de haut en bas, pompant son sexe, telle une affamée de sexe. J’affichais mon envie, mon désir, mon besoin de le prendre dans ma bouche, telle une boulimique de fellation.
- Ohhhhh quelle pipeuse tu es... J’avais oublié comme tu suçais bien... Jamais je n’ai trouvé quelqu’un que me pompait le dard comme toi ma belle.... Vas-y prends moi en entier, bouffe ma grosse queue comme une gourmande...
Coinçant mes bras sur les accoudoirs du fauteuil avec ses genoux, il s’était dressé en équilibre et poussa à nouveau son membre au fond de ma gorge, me tenant par la tête et les cheveux afin que je ne puisse me soustraire à cette gorge profonde inattendue. Mes confidences de mon attrait pour la soumission avaient produit son effet. Il utilisait ma bouche comme un objet de désir avec convoitise, ardeur et désir.... J’étouffais sous son sexe, sentant sa main libre relever mon pull, afin de prendre possession de ma poitrine qu’il avait pour l’instant ignoré. Il libéra enfin mes gros seins protégés par un soutien-gorge corbeille en fine dentelle noire composé de broderies exubérantes et de fleurs luxueuses éclatantes, associé à une fine dentelle en Leavers noire. Sa main palpait mes gros seins au travers de la dentelle alors que sa queue continuait à coulisser entre mes lèvres. Je devais ralentir la cadence si je ne voulais pas le faire jouir trop vite. Je voulais que ce moment continue encore et encore pour durer le plus longtemps possible et qu’il me possède comme dans nos folles années de jeunesse.
- Ohhhhh, j’avais oublié que tu avais d’aussi beaux seins. Ils sont plus gros qu’avant, on voit que Madame a bien travaillé. Quels beaux gros nichons, tu as !!!!! Ohhhhhhh tu vas me rendre fou ma belle.
- Ohhhhhh, Thierry prends moi maintenant, fais moi l’amour emmène moi sur le lit, et baise moi !!!!!
- Tu veux le lit, ma belle, tu vas l’avoir....
Il me poussa enfin vers le lit, m’installant à quatre pattes. J’avais ma magnifique jupe Vichy relevé et mes gros seins pendouillant, étant juste protégée par la lanière de mon string, dernier rempart entre sa grosse queue dure et affamée et mon vagin en feu. A genoux à mes côtés, il me baissa le string à mi-cuisse, afin de me fourrer deux doigts dans ma chatte brûlante. Alors que sa main gauche me doigtait avec violence et passion, sa main droite s’était posée sur mes lèvres pour atténuer mes gémissements.
J’avais oublié que tu étais si bruyante ma belle. Je vais te faire jouir maintenant, je ne te libérerai qu’après plusieurs orgasmes...
- Hummmmmmm ;, Ouiiiiiii, Ohhhhhh, Mon Dieu !!!!!! Ohhhh Thierry !!!!!!!!
Sa main toute-puissante usait et abusait de mon entre-jambes. Fasciné par mes grosses fesses, il me mordillait le cul à pleines dents, m’appliquant de temps en temps de grandes claques sur mon gros derche, avant de replonger ses doigts en moi et me doigter de plus belle. Le résultat ne se fit pas attendre, et une série d’orgasmes me transpercèrent le corps. Violent, terrible, énergique, je me courbais sous la forte intensité de ses caresses. J’avais perdu le contrôle et toute mesure, me laissant aller, et posséder par mon ancien amant.
- Ouhhhhhhhhh, my god tu me rends folle, ohhhhhh, je suis en train de jouir, ohhhhhhh !!!!
Je m’écroulais une première fois. Il me retourna sur le dos, releva mes jambes à la verticale, toujours coincées dans mon string, et recommença la même punition. Ses doigts me détruisaient, amplifiant mes gémissements qui résonnaient dans cette chambre médiévale. Afin de maintenir mes jambes à la verticale, il tira sur mon string, poussant la dentelle entre mes dents. Je serrais ma culotte qui coinçait entre mes jambes me permettait également de me maintenir dans cette position.
- Lâche pas ta culotte ma belle, pendant que je m’occupe de tes belles mamelles.
Il me pétrissait mes gros seins, tout en me détruisant la chatte, fixant mes yeux médusés par le traitement que je subissais. Je perdais la notion du temps, laissant mon amant changer de position qu’il conservait jusqu’à ce qu’un nouveau spasme me traverse. Je voulais qu’il me possède, qu’il me prenne, qu’il me baise et qu’il jouisse enfin en moi. Sentir son sperme dans ma chatte dégoulinait entre mes cuisses était ma seule aspiration. Jamais il ne m’avait possédé de cette façon si violente, et jamais les préliminaires n’avaient été aussi longs. Il n’avait qu’un but, me détruire sexuellement afin de me posséder et de me finir de son sexe. Il voulait que je le supplie, ce que je faisais avec passion...
- Ohhhhh, Thierry prends moi maintenant, je n’en peux plus tu vas me , baise-moi, je veux ta grosse bite en moi, je suis à toi !!!!!
- Pas encore ma belle, tu n’es pas prête....
Il continua, encore et encore.... Cela n’avait pas de fin, jusqu’au moment où traverser par un ultime orgasme, je m’écroulais sur le lit... Il me laissa quelques minutes afin de reprendre mes esprits, et après m’avoir retiré mon pull blanc, me repositionna à quatre pattes afin de me pénétrer en levrette. Il me baisa enfin, poussant son sexe en moi, me prenant par la croupe, bien accroché à ma jupe retroussée. Je ne pouvais plus réagir, me laissant faire, comme une poupée de chair. Jamais je n’aurais pu imaginer cet homme qui approchait les 60 ans avoir cette endurance. Il était passé d’un amant exceptionnel à un animal de sexe. Il me laboura encore et encore, multipliant les positions et ne me laissant aucun répit. Ses mains s’accrochaient à mes gros seins me palpant fermement alors que son membre coulissait en moi. Je jouissais une fois de plus, sentant qu’il arrivait lui aussi au point de non-retour. Il essaya de reprendre le contrôle baissant la cadence de ses coups de reins, alors que je continuais à remuer mes grosses fesses toujours possédées par sa bitte. Il se vida enfin en moi et je sentais son sperme chaud se répandre entre mes cuisses.
- Ohhhhhhh Salope tu m’as eu, prends mon foutre ma belle !!!!!!!!
Il était 15H30, je venais de me faire baiser pendant plus d’une heure et demi. On s’écroulait tous les deux, sur le lit, s’assoupissant épuisés par l’effort intense de nos ébats. Je repris mes esprits 30 minutes plus tard, me rendant à la salle de bain afin de me rhabiller et de faire un semblant de toilette. De retour dans la chambre, je m’approchais de Thierry pour l’embrasser avant de partir déjà très en retard.
- Tu reviens bientôt ?
- Oui, je vais voir ce que je peux faire, mais je devrais pouvoir m’arranger.
Je pris mes affaires, me dirigeant vers la porte, et alors que je ramassais mon manteau toujours sur le sol, je sentis la présence de Thierry derrière moi, qui me saisit par les hanches et me poussa vers la porte.
- Je crois qu’avant que tu partes, j’ai encore une chose à terminer.
- Ohhhh, Thierry, je n’ai vraiment pas le temps, je suis terriblement en retard. En plus, je dois récupérer ma voiture dans le parking du centre-ville.
- Chut, beauté, tu ne partiras pas d’ici avant de m’avoir donné ce que j’attends depuis si longtemps.
- Non Thierry, je sais à quoi tu penses et tu sais que je ne veux pas.
- Je ne me souviens pas de t’avoir demandé ton avis salope. Tu viens ici pour te faire baiser dans tes habits de bourgeoises et fleureter avec un mec de la haute, et tu crois que tu vas échapper à ma bite dans ton gros cul !!!!
Le ton avait changé, il avait pris une posture dominante, me poussant contre la porte et retroussant à nouveau ma jupe Vichy avec autorité, libérant mes grosses fesses juste protégées par la lanière de mon string noir. Il baissa à nouveau ma culotte à mi-cuisse, tout en me tenant la tête collée à la porte de la chambre alors que je sentais sa main se poser entre mes fesses. J’essayais de résister pour la forme, mais je savais que je ne pouvais échapper à sa volonté de vouloir me sodomiser. Son doigt pénétra dans mon petit trou sans aucun préliminaire.
- Ohhhhhhhhhhh !!!!!!
- Voilà ma belle, je vais te doigter un peu ton gros derche. Dis-moi que tu as envie que je t’encule, salope !!!!
- Non, Thierry, s’il te plaît, laisse-moi partir maintenant, je ne veux pas.
- Dis-le-moi salope, je veux t’entendre !!!!
- Ohhhhhhhhhh, Hummmmmmm, oui vas-y prends moi, sodomise-moi maintenant.
- Dis-moi que tu veux que je t’encule !!!!
- Ouiiiiii encule moi, prends-moi mon gros cul, sur le lit maintenant.
Il me doigta l’anus pendant quelques minutes, coincée contre la porte, soumise à sa force et à son désir, avec de me pousser à nouveau vers le fauteuil me tenant par les cheveux comme un animal. Il me plaça en levrette, fesses en l’air, culotte baissée et replongea son doigt dans mon anus. Il reproduit la même séquence qu’auparavant, me tenant par les cheveux tout en me doigtant le cul avec passion. Ce viol anal réveilla, mon désir, et je repartais à nouveau dans ce monde de plaisir ponctué d’orgasmes répétitifs. Estimant que j’étais suffisamment dilaté, il me sodomisa enfin. Son sexe s’enfonça en moi, doucement jusqu’à me posséder entièrement.
- Voilà ma belle, j’en ai rêvé depuis tout ce temps de te prendre ton gros cul de roturière. Dis-moi que tu aimes ça de te faire enculer par un vrai bourgeois et Comte de surcroit !!!!!
- Hooooooo, Hummmmmmm, Ouiiiiiiiiiii Monsieur le Comte, encore, prenez-moi comme votre boniche
- Ohhhhhh, oui vas-y grosse pute, parle-moi je veux t’entendre !!!!
Il continua à me pilonner pendant plusieurs minutes avant de se coucher sur le lit, me positionnant au-dessus le dos tourné. Il replongea sa queue dans mon anus, redressant mes jambes à 45 degrés et me pilonna comme une brute. Je gémissais, pleurais, implorais.... Il me faisait jouir. Il tira à nouveau sur mon string toujours coincé à mi-cuisse qu’il me força à prendre dans la bouche, afin d’accen encore plus ma soumission. Il me saccagea l’anus, tout en palpant mes gros seins, avec ses mains qui s’étaient glissées sous mon pull. Il me sodomisa encore pendant une dizaine de minutes avant de se vider sur ma jupe et de me laisser reprendre mes esprits avant de regagner ma voiture. Il m’avait littéralement démonté l’anus, et je sentais assise dans ma voiture les stigmates de cette pénétration anale féroce et brutale. J’avais vécu quelque chose de fou, et songeais à un moyen pour le revoir rapidement espérant qu’il partage la même envie. Son dernier SMS me rassura...
- @Patricia : « Trouve-toi un bon alibi, car je veux te revoir tout vite. »

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